Le point indique la fin d’une phrase. Il esquisse également la fin d’une belle aventure, et manifeste, en d’autres termes, d’un point de vue global. Voilà cinq belles années qui s’achèvent dans l’écrin Supdemod. Une école qui a su me former, m’apporter, m’inculquer des valeurs, et me faire grandir depuis 2014. Je ne me voyais pas quitter les lieux, sans y laisser ma petite trace. Mes appréciations découlent…
Au delà de sa dimension humaine, Supdemod reste pour moi une école de partage. Les élèves tissent des liens, très forts, et font preuve de beaucoup de solidarité et d’entraide. Se fut un réel plaisir pour moi de considérer les élèves, et le corps pédagogique comme ma deuxième famille « d’apprentissage » pendant ces cinq années. Les « enseignants » sont pour le plus grand nombre des profils dotés d’une grande culture générale. Je citerai quelques noms qui marqueront ma scolarité, Madame Isabelle Hourtoule, Madame Fabienne Quilici, Monsieur Guillaume Clerc, Madame Rondeu, Monsieur Raphael Dunand, Madame Anne Terret, et notre directeur, Monsieur Jamal Hammouch. Tous, ont eu un rôle prépondérant dans mon cursus d’étude, et ont su tour à tour, me guider vers mes objectifs. Je vous en remercie.
Je suis assez surprise de lire ce déferlement d’avis négatifs. Mon attention se porte notamment sur la fameuse problématique des recherches de stage. Je reste convaincue qu’à ce jour, il n’existe aucun établissement en mesure de nous fournir un stage, dans une grande entité de la mode, sur un plateau d’argent. Mesdames et Messieurs, il y a bien des étapes avant d’attraper le dernier barreau de l’échelle. Sachez commencer petit pour devenir grand. Les plages de stages sont des possibilités que l’école nous offrent. C’est un réel tremplin. Prenez ces expériences comme l’ébauche de votre carte d’identité professionnelle. Il n’a jamais été stipulé que Supdemod vous desservirait votre stage sur un plateau, chez un grand nom. Sachez faire valoir vos compétences seul, « réseauter » au maximum, mais n’attendez pas que vos expériences professionnelles se réalisent en restant assis sur un banc. Là est l’enjeu du milieu de la mode, un milieu de contact, de débrouille, et surtout d’objectivité et de persévérance. Si vous ne vous retrouvez pas dans ces mots, votre place n’est pas ici, ni dans cette école.
Le mot de la fin, merci pour ces cinq années. Merci à notre directeur pour son écoute, son appui et sa disponibilité. Je n’ai aucun regret et je porte, à ce jour, cette école dans mon coeur.